|
|
|
|
|
psg vs nantes
30/09/2005 14:13
PSG-Nantes.  Le groupe du PSG
Voici la liste des joueurs retenus par Laurent FOURNIER pour le match opposant le PSG à Nantes, comptant pour la 10e journée du championnat de France de Ligue1, le samedi 1er octobre 2005.
ALONZO Jérôme ARMAND Sylvain BADIANE Jean-Michel CISSE Edouard DHORASOO Vikash HADDAD Rudy KALOU Bonaventure LANDRIN Christophe LETIZI Lionel MBAMI Modeste MENDY Bernard PANCRATE Fabrice PAULETA Pedro PICHOT Stéphane ROTHEN Jérôme ROZEHNAL David SEMAK Sergeï YEPES Mario
Match PSG-Nantes Parc des Princes 10ème journée du championnat de France de Ligue1 Samedi 1er octobre 2005 à 17h15 Match diffusé en direct sur CANAL+ et PSG.FR
source:psg.fr
| |
|
|
|
|
|
|
|
Le Mans VS Paris SG
25/09/2005 10:26
Paris ne perd plus
Une victoire aurait fait du PSG le leader de L1 en attendant le match entre Nantes et Lyon. Ce partage des points consolide simplement sa place de dauphin. Après une première période d’observation, les deux équipes se sont réellement montrées dangereuses au retour des vestiaires. Bien trop tard pour remporter ce sommet.
Au stade Léon Bollée
Pas grand monde n’aurait imaginé que cette rencontre entre Le Mans et le PSG aurait opposé le 3e de L1 face à 2e. Surtout après 8 journées de championnat ! Mais le football n’étant pas une science exacte, il arrive aux « petits » de bouger les « gros ». L’entame de match confirme d’ailleurs l’excellent début de saisons des deux formations. Les 15 000 spectateurs du Stade Léon Bollée, plein comme œuf pour l’occasion, assistent en effet à un duel d’attaquants très prometteur. Normal après tout, puisque les deux meilleurs artilleurs de L1 (Pauleta et De Melo) sont sur le rectangle vert.
Motivé par la présence de Rai dans les gradins du stade, le Brésilien du MUC est le premier à se montrer. Son aile de pigeon ne trouve cependant pas preneur (8e). Pauleta, qui retrouve Kalou sur le front de l’attaque parisienne, s’illustre lui sur coup de pied arrêté (12e), sans plus de réussite.
Si le jeu offensif du PSG penche légèrement à droite, grâce notamment à l’activité de Mendy et Landrin, la précision de Dhorasoo plein axe constitue une rampe de lancement idéale pour Pauleta. L’attaquant parisien croit d’ailleurs conclure un rush de Cissé stoppé (irrégulièrement ?) par Basa, mais sa frappe est détournée par Pelé sur sa transversale (30e). Pas de regret à avoir puisque l’arbitre assistant avait préalablement levé son drapeau pour une position de hors-jeu du meilleur buteur de L1.
Si l’intensité des débats baisse d’un cran, les occasions se veulent plus nettes à l’image de ce décalage de Kalou pour Pauleta une nouvelle fois à la limite du hors-jeu (42e). L’arbitre siffle la pause sur cette dernière action. L’enjeu - une provisoire place de leader pour le PSG, la deuxième pour le MUC - semble paralyser les deux formations.
Le jeu s'anime, les défenses tiennent
Alors que Monsieur Fautrel semble soudainement touché par une « cartonite » aiguë : Pauleta (47e) et M’Bami (49e), les vingt-deux acteurs attaquent cette seconde période avec les mêmes bonnes intentions qu’en première. En espérant simplement que cette dynamique ne retombera pas tel un soufflet passé l’heure de jeu.
Alors que l’avertissement reçu par Pauleta devrait le priver du déplacement au Vélodrome, M’Bami prend sa chance de loin sans pour autant attraper le cadre du but de Pelé (53e). Dans la foulée, Thomas imite le Parisien pour un résultat similaire (54e).
Le match se débride enfin totalement et Armand n’hésite pas à créer le surnombre et même à frapper (63e). Un tir enroulé qui termine sa course sur la cuisse de Pauleta qui réclamait le ballon en profondeur. Laurent Fournier décide alors d’apporter un peu de fraîcheur à son équipe en remplaçant Dhorasoo par Haddad (71e), puis Kalou par Semak (75e). Le Russe va très rapidement faire connaissance avec Pelé, mais il lui manque quelques centimètres pour reprendre la louche de Cissé (81e).
Alors que le PSG s’arc-boute en défense, Lucau s’effondre dans la surface à la recherche d’un penalty désespéré (86e). En vain ! Un dernier corner réveille Léon Bollée vite refroidi par le dégagement de M’Bami. Lors de son dernier déplacement, le PSG avait encaissé trois buts (à Saint-Etienne). Ce soir, les Parisiens ont avant tout cherché à se rassurer loin de leur base. Mission accomplie donc… A condition de l’emporter samedi prochain, au Parc des Princes, face à Nantes.
Anthony Baca
Le Mans-PSG : 0-0 (0-0). Arbitre : M.Fautrel.15182 spectateurs. But(s) : Aucun. Avertissement(s) : De Melo (90e) pour Le Mans ; Pauleta (47e), M'Bami (49e) pour PSG.
Le Mans : Pele - Poulard, Basa, O.Thomas, Periatambée, Bonnart - Matsui (Bangoura, 87e), F.Thomas - Fanchone, Lucau, De Melo. Entr. : F. Hantz.
PSG : Letizi - Yepes, Rozehnal, Mendy, Armand - Landrin (Pichot, 89e), M'Bami, Dhorasoo (Haddad, 71e), Cissé - Pauleta, Kalou (Semak, 75e). Entr. : Fournier.
(source:psg.fr)
| |
|
|
|
|
|
|
|
fiche paris sg
25/09/2005 10:16
Cliquez sur le nom des joueurs pour découvrir leur fiche complète.
 |
 |
 |
 |
|
 |
PSG |
|
Année de fondation :
|
1970 |
Adresse du siège :
|
24 Rue du Commandant Guilbaud 75016-Paris |
Téléphone : Fax :
|
01 47 43 71 7 1 01 42 30 56 27 |
Adresse du site officiel :
|
www.psg.fr |
Stade :
|
Parc des Princes |
Couleurs maillot :
|
Rouge et Bleu |
|
 |
| |
|
|
|
|
|
|
|
classement 9j
24/09/2005 21:05
Classement en direct
| Clubs | Pts | MJ | Diff |
1 |
Lyon |
18 |
8 |
+6 |
2 |
PSG |
17 |
9 |
+4 |
3 |
Bordeaux |
16 |
9 |
+4 |
4 |
Auxerre |
16 |
9 |
-3 |
5 |
Lille |
15 |
9 |
+6 |
6 |
Le Mans |
15 |
9 |
+6 |
7 |
Lens |
13 |
8 |
+8 |
8 |
Saint-Etienne |
13 |
9 |
+3 |
9 |
Troyes |
12 |
9 |
0 |
10 |
Nice |
12 |
9 |
-2 |
11 |
Nantes |
11 |
8 |
+3 |
12 |
AC Ajaccio |
11 |
9 |
0 |
13 |
Monaco |
11 |
9 |
-3 |
14 |
Rennes |
10 |
8 |
-9 |
15 |
Marseille |
9 |
9 |
-4 |
16 |
Toulouse |
9 |
9 |
-6 |
17 |
Sochaux |
8 |
9 |
-4 |
18 |
Nancy |
7 |
9 |
+2 |
19 |
Strasbourg |
6 |
9 |
-3 |
20 |
Metz |
5 |
9 |
-8 |
| |
|
|
|
|
|
|
|
Burnout Revenge
24/09/2005 21:01
La vengeance est un plat qui se mange froid ? Burnout Revenge ne l’entend pas de cette oreille. C’est à grand renfort de tôle froissée, d’explosions massives et de vitesse hallucinante que vous allez prendre votre revanche ! Et de quatre pour l’équipe de Criterion ! Il est bien loin le premier Burnout sorti il y a près de quatre ans maintenant. Désormais chez Electronic Arts, la série a pris en envergure avec un Takedown de toute beauté. Difficile de faire mieux, vous dites ? J’espère que vous êtes bien accroché à votre fauteuil. De Takedown à Revenge Si les évolutions techniques ne sont pas aussi flagrantes qu’entre les deuxième et troisième opus, les efforts se sont portés sur le contenu afin de rendre le gameplay de Burnout encore plus intuitif et ravageur. Burnout 3 intégrait une intelligence artificielle agressive et dont il fallait se débarrasser en propulsant les adversaires dans le décor. Ici, il n’est plus simplement question d‘amasser un maximum de points en semant chaos et destruction sur les routes mais de faire payer à tous vos adversaires de rouler à droite et de ne rouler pas vite. Le Takedown et l’Aftertouch bien connus du précédent volet prennent un savoureux goût de revanche et ajoutent aux statistiques de votre niveau de représailles. |
|
La règle est simple : un adversaire vous met en échec avec un "Taken Out", il devient alors premier dans votre tête de liste des gens à abattre. A vous de lui faire payer très cher ! Ainsi sont comptabilisés vos points de vengeance à chaque fin de partie et augmentent votre réputation en conséquence permettant de débloquer niveaux et défis. |
Immense défouloir Mais ce n’est pas la seule évolution de gameplay à noter. Egalement au rendez-vous des nouveautés un trafic plus interactif et différencié. Késako ? Je m’explique. La gestion du trafic est maintenant plus complexe que par le passé. Il est possible de s’en servir comme d’une arme redoutable, non pas seulement en envoyant les adversaires dessus mais aussi en les utilisant comme projectile. Attention, cela ne va pas dire que vous pouvez impunément percuter n’importe quel véhicule. Les engins lourds type camion et bus vous rappelleront à l’ordre des lois physiques plus communes et le trafic en sens inverse reste aussi fatal que par le passé. Les puristes trouveront que ce changement rend le jeu trop facile, mais on y gagne cruellement en rythme ! D’autant plus que les modes courses Crashbreaker et Traffic Attack apporte une touche d’originalité aux épreuves déjà connues. Le trafic, une arme fatale A ce sujet, il faut compter près de 170 challenges permettant de gravir les échelons de la réputation de vengeance en solo. |
|
On ajoute à cela 80 voitures, d’anciens modes remaniés comme le Crash et ses sauts qui font passer votre bolide pour un deltaplane, de nouvelles destinations inspirées de Detroit, Rome ou encore Tokyo, un graphisme et une animation hallucinants. Pas de doute à avoir sur le capital fun et le sérieux de la réalisation de Burnout Revenge. |
Enfin, un multijoueur complet opposant jusqu’à six participants, que ce soit dans son salon ou sur Internet, et voilà donc le millésime le plus abouti de la série. Au passage la référence incontestable du genre course / arcade. Test réalisé par Frédéric Pam.
|
Autres Screenshots:
|
Note: 18/20 |
Source: micromania.fr |
| |